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HSCSM1-SGHC2
Match aux Pays Bas
Le hockey en fauteuil arrive au club !
Le seize octobre dernier, Jonathan Bernon et Julien Autret, le Président, se sont rendus à Lambersart (Nord) pour pratiquer le hockey en fauteuil. En effet, depuis l’arrivée de Jonathan au club, notre association a à coeur de développer le hockey pour tous. Cette rencontre a permis à la fois de se rendre compte des besoins en matériel mais également de discuter avec des professionnels du secteur et surtout de partager l’expérience du club de Lambersart qui est l’un des tous premiers clubs qui pratique cette discipline à la fois ludique et technique. mu legend power leveling A l’issue de cette rencontre et de cette invitation, il a été convenu d’organiser une compétition en mars après la salle afin d’accueillir les sportifs de Lambersart. Cet événement sera un moment important du club. Nous avons déjà reçu des subventions mais nous devons encore obtenir des fonds pour acquérir plus de fauteuils, des buts et le matériel nécessaire à la pratique de ce sport. Aussi, nous sommes preneur de toute information que les uns ou les autres vous pourriez avoir dans ce domaine. mu legend zen for sale Nous savons que des comités d’entreprise (comme à la SNCF), des fondations ou autres entités, sont prêtes à donner des moyens financiers aux associations qui s’engagent des ces démarches d’accessibilité aux sports. cheap mu Legend zen De même, si vous connaissez des personnes qui souhaiteraient pratiquer ce sport et qui sont en fauteuil, n’hésitez pas à les diriger vers nous. Cette discipline sera ouverte à tous : les valides comme les personnes en situation de handicap. Aidez-nous à monter ce beau projet qui profitera à tous ! Les photos sont dans la partie média du site, nous remercions le photographe Michel Vaillant pour ces clichés. Nous remercions également le club de l’Iris Lambersart, son président, ses membres du hockey fauteuil et Daniel Choquel pour leur accueil.
C’est la reprise de la salle!!!!
Les vacances scolaires de la Toussaint se terminent et il est temps pour nos jeunes hockeyeurs de faire leur rentrée sportive.
Voici les horaires et lieux valables pour la période salle, c’est à dire du 3 novembre 2014 au 14 février 2015 :
BEBE HOCKEY (enfants nés en 2011, 2010, 2009) : samedi de 11h45 à 12h30 à la salle d’Arsonval
PLUMES (enfants nés en 2008, 2007) : mercredi de 17h à 18h30 à la salle Rabelais
+ samedi de 14h à 15h30 au stade Marin
POUSSINS (enfants nés en 2006, 2005) : mercredi de 14h30 à 16h au stade Marin
+ samedi de 11h45 à 13h à la salle Rabelais
BENJAMINS (enfants nés en 2004, 2003) : mercredi de 13h30 à 15h au stade Marin
+ vendredi de 17h30 à 19h à la salle Rabelais
+ samedi de 10h à 11h45 à la salle Rabelais
MINIMES (enfants nés en 2002, 2001) : mercredi de 13h30 à 15h au stade Marin
+ vendredi de 17h30 à 19h à la salle Rabelais
+ samedi de 10h à 11h45 à la salle Rabelais
Adresse des installations :
– Salle Rabelais : 10 rue du Pont de Créteil à Saint-Maur
– Salle d’Arsonval : Impasse Villa Vernier à Saint-Maur
– Stade Marin : 32 boulevard de Champigny à Saint-Maur
Bonne reprise!
Assemblée Générale : Samedi 5 juillet
Bonsoir à tous, cheap mu Legend zen suite à la qualification de l’équipe de France de football, buy mu legend zen nous avons décidé de déplacer l’AG du vendredi soir au samedi matin vers 10h ah Gymnase Rabelais. mu legend power leveling Nous nous excusons pour les inconvénients mais j’imagine que chacun comprendra cette modification.
La Une perd contre Mer
Dimanche 12 octobre, notre équipe 1 masculine recevait l’équipe de Mer HC (Loir et Cher). Après un début un peu difficile, nos joueurs ont haussé leur niveau de jeu et parviennent à marquer un très beau but en contre-attaque par David Marquès. Le jeu de Mer étant essentiellement du scoop and rush, c’est à dire de longues balles aériennes pour les avants qui tentent de récupérer pour marquer.
Hélas au retour des vestiaires, ils ont trouvé rapidement la faille et égalisent.
Malgré un petit public qui était venu soutenir notre équipe, Mer parvient à marquer un deuxième but et a même obtenu un penalty (stroke) que notre gardien Greg Blanchet a sauvé.
Les photos du match sont visibles sur la partie médias du site !
Bis repetita pour la 2: le dépit du capitaine
L’avez-vous vue, cette âme en peine qui traîne dans les allées du complexe sportif de l’US Métro? Est-ce une limace? Est-ce un aï (cruciverbistes, à vos crayons… rappelons aux plus jeunes que le cruciverbiste est un amateur de mots croisés)? Est-ce un morse? Non! C’est Capitaine Dépité!
Personne ne le connaît encore, mais il y a fort à parier qu’il se fera très bientôt un nom dans la petite communauté du hockey saint-maurien.
Il aurait pu être tant d’autres capitaines, pourtant:
– Captain America: mais son bouclier est trop petit;
– Captain Caverne: mais il ne crie pas assez fort pour bouger ses troupes;
– Capitaine Conan: mais il est trop respectueux de l’arbitrage;
– Capitaine Haddock: mais il ne se met pas assez en colère;
– Capitaine Flam: mais il n’est pas de notre galaxie;
– Capitaine James T. Kirk: mais il a trop rarement vaincu les hockeyeurs klingons…
Tant de possibilités et seulement deux qui pourraient lui convenir:
– Capitaine Crochet: lui aussi a une crosse au bout de la main (quoi? ce n’est pas une crosse?);
– Capitaine Nemo: lui aussi a le moral à 20 000 lieux sous les mers (quoi? ce n’est pas son moral?).
Décidément, tout fout le camp…
Alors il sera le Capitaine Dépité! L’homme qui a failli sonner la charge!
Revenons sur les circonstances de la naissance de ce (anti) héros.
Il faisait sombre et froid sur Antony. A cet heure où les loups rentrent dans leur tanière, harassés par un nuit de chasse infructueuse, un homme se présente à l’entrée du complexe sportif de l’US Métro. Il porte un uniforme bleu et deux sacs dont l’un semble trop grand pour lui. Il frappe trois coups sur la lourde porte de bois du complexe. Après une attente interminable, il entend des pas claudicants à l’intérieur des murs. Une lucarne s’ouvre en grinçant et une voix dont il n’arrive pas à identifier si elle est masculine ou féminine lui lance avec toute la hargne du dormeur fauché dans son sommeil bienheureux: « Toi vouloirrr quoi? »
Après avoir montré le sauf-conduit lui garantissant un accès libre aux vestiaires et au terrain de hockey, il passe la porte et se rend directement à l’arène qui décidera de son passage à la postérité ou de sa chute dans les limbes du hockey francilien. L’arrivée de ses coéquipiers est pour lui le signe incontestable qu’il ne sera pas seul sur le terrain.
Préparation, échauffement, discours d’encouragement et début du match. Autant d’élément clés de la matinée qui se passent sans heurts, avec un groupe réceptif et enjoué. Le début du match tend d’ailleurs à confirmer cette impression puisque Saint-Maur domine les débats et fait vivre la balle de l’aile gauche à l’aile droite pendant près de 20 minutes sans que les adversaires ne voient la balle (ou presque). Un gros regret durant cette phase, les moulinets acharnés mais purement aériens de nos attaquants qui ont vainement tenté d’intercepter la balle lors de ses voyages de la gauche vers la droite du terrain, et inversement… Et un inquiétude qui commence à se faire jour: rater tant d’occasions n’est pas bon signe… Les défenseurs vont appuyer les milieux, qui vont appuyer les attaquants mais rien n’y fait.
Ce va-tout profite aux joueurs de l’US Métro qui plante trois banderilles coup sur coup entre la 20ème et la 30ème minute. Les deux premières sont sorties du bout du pied et de la guêtre gauche par notre gardien, la troisième ne trouve pas le cadre saint-maurien. Mais ces alertes montrent que nos joueurs, après avoir poussé sans réussite toute la mi-temps accusent le coup physiquement. Sur un dernier petit corner, les joueurs de Saint-Maur se placent dans leur but, les attaquants lancent la balle, le gardien dit « GO!!!! » et s’élance pour fermer un peu l’angle, mais il s’élance seul. Surpris de ne pas voir ses flèches aller gêner les frappeurs, il se retourne, constate que ses coéquipiers ont été changés en statues de sel par quelque sort malveillant lancé par le sorcier local et, affligé, ne se couche pas à temps pour reprendre la frappe…
La seconde mi-temps ne sera qu’une répétition de la première: 15 occasions nettes pour les Saint-Mauriens, puis un trois contre un assassin pour les joueurs de l’US Métro…
0-2 donc au final, et beaucoup de regrets sur notre prestation. Par contre, soyons positifs, la cuvée 2014 du vin de pays de Saint-Maur devrait être abondante, parce que pour vendanger, on vendange!
Dépité, je vous dis…
Une mi-temps, puis le trou noir pour la 2…
Dans la foulée du match de la 3 contre le Stade Français 4, notre équipe 2 ouvrait elle aussi son championnat de Régionale 2 face à l’Amicale des Hockeyeurs de Meaux.
Temps frais et gris sur le stade Auguste Marin, mais pelouse bien arrosée qui laissait augurer d’une rencontre agréable. Elle fut surtout très engagée et fatigante pour nos (plus si jeunes) organismes.
La première mi-temps fut d’une assez bonne tenue, les deux équipes étant de niveaux très proches. Le pressing haut des joueurs meldois (j’ai été le chercher sur wikipédia, celui-là…) obligeait nos défenseurs et nos milieux à beaucoup porter la balle et à faire de considérables efforts de replacement pour essayer d’offrir des solutions rapides. De leur côté, les Meldois (je n’arrive pas à m’y faire…) récoltaient les fruits de leur harcèlement en récupérant quelques balles perdues et en tentant de s’infiltrer dans la zone saint-maurienne. Heureusement, notre vieille garde tenait bon.
Profitons du déroulement sans but de cette première période pour justifier le qualificatif de « vieille » garde attribué à la défense saint-maurienne en ce 5 octobre. La « vieille garde » était historiquement l’unité d’élite de la garde napoléonienne. Pour y rentrer, il fallait justifier de 10 années de service, avoir une très bonne conduite (de balle), avoir été cité pour bravoure (quelques titres de joueur du match), mesurer au moins 1,76 m, savoir lire et écrire… Bien sûr, nos joueurs n’avaient pas tous 10 ans de service (mais comme certains en ont plus de 20, çà compense), une très bonne conduite de balle (je ne donnerai aucun nom…) ou été cités pour bravoure. Mais ils étaient là, mes grognards! Se jetant sur toutes les balles, inflexibles et durs, n’hésitant pas à se soutenir, tant et si bien que l’on retrouvait souvent le Meldois entre le marteau et l’enclume, et que çà faisait mal!
La mi-temps était l’occasion d’échanger sur les améliorations potentielles (insistons sur le « potentielles ») de notre jeu et c’est confiants que nous abordions une seconde période qui promettait d’être notre Austerlitz.
Promettait seulement, car le feu ne nous ayant pas été apporté et Grouchy ayant préféré manger des fraises (je laisse le lecteur attentif méditer ces deux références fort peu hockeyiennes…), nous traversâmes finalement cette seconde période comme la Grande Armée la Bérézina. Avec pertes et fracas.
Nos rouages collectifs, pas encore totalement rodés, laissèrent des espaces aux Meldois dans l’engrenage saint-maurien (ah! enfin! je savais bien qu’il y restait un jeu de mot lamentable à faire avec les Meldois!). Le pressing sur notre centre conduisait à des situations de contre de plus en plus nombreuses et ce fut sur deux d’entre elles que les rouges se présentèrent à deux contre un puis trois contre un devant notre gardien pour marquer les deux buts du match.
Néanmoins, ne nous y trompons pas. Malgré nos défaillances physiques et notre incapacité (provoquée par l’adversaire) à varier le jeu, ce fut le match le plus intense et le plus techniquement abouti qu’il m’ait été donné de voir en Régionale 2. A nous de travailler collectivement pour relever le défi de cette division qu’i s’annonce franchement passionnante!
La 3 arrache son premier point! Pedro arrache son premier but!
C’est sous un ciel gris clair et par une température quasi hivernale que l’équipe 3 du HSCSM ouvrait son championnat de Régionale 2 ce week-end. Après le faux départ et le report du match de la semaine passée, nous allions enfin pouvoir lâcher la bride à nos jambes qui piaffaient d’impatience à l’idée de retrouver les joutes franciliennes de hockey sur gazon.
Et à match de reprise, adversaire de prestige en la personne du Stade Français. Bon, les dieux du stade n’étaient pas tous au rendez-vous et il s’en est fallu de peu que nos adversaires soient suffisamment nombreux pour jouer le match mais, à 11h, les arbitres sonnaient la charge.
Le Stade Français faisait valoir une technique supérieure alors que le HSCSM jouait plutôt sur son explosivité et sa capacité à répéter les efforts. Ces éléments donnaient un match plutôt équilibré et, soulignons-le, fort courtois.
Mais çà, c’était avant. Avant qu’un agent saint-maurien infiltré dans les rangs adverses n’oublie son allégeance véritable. Par deux fois, en début de match, le félon déborda sur notre aile droite et par deux fois, pris d’un remord légitime au moment de shooter, il n’appuyait pas assez ses frappes pour tromper la vigilance de notre gardien. Mais sur le troisième débordement, toute sa retenue et ses doutes volèrent en éclats! Le muffle fumant, l’oeil embrasé d’un courroux inextinguible, il entrait dans la surface et délivrait une passe en retrait assassine qui permettait à un attaquant adverse de tromper notre dernier rempart en deux fois puisque dans un réflexe presque inhumain ce dernier parvenait à repousser la première frappe.
0-1 à la mi-temps.
Nos services de renseignements, émus par la tournure des évènements, faisaient revenir sous nos couleurs l’agent double à la mi-temps.
Hélas pour nous, cette dernière commençait par une mauvaise nouvelle: Julien, à la lutte pour récupérer une balle, subissait la loi de son genou et devait céder sa place, sous les applaudissements de l’ensemble des joueurs.
Le jeu se stabilisa ensuite entre le milieu de terrain et notre défense qui contrôla sans grande difficulté les tentatives adverses. A la 55ème minute, un frisson parcouru néanmoins les joueurs stadistes lorsque sur une balle peu appuyée, leur gardien décida de se lancer dans un moonwalk téméraire. Il rata la balle mais eut le temps de se retourner pour la dégager in extremis.
A deux minutes du terme de la partie, Carole ordonnait une dernière charge et nos joueurs se ruaient à l’assaut du but adverse avec ce qu’il leur restait d’énergie. Sur une balle portée jusque dans la surface adverse par Alex, Jean-Yves surgissait pour la glisser sous le ventre du gardien. La balle filait jusqu’au but et il n’y avait nul doute pour 21 des 22 acteurs qu’elle finirait sa course dans le but stadiste. Un seul homme n’était pas entièrement convaincu du succès du tir de Jean-Yves. Et cet homme, c’était Pedro. Conditionné par des entraînements où les plus anciens du club lui répètent qu’il ne faut pas hésiter à se jeter pour marquer des buts, il ne put résister à son instinct. Alors que la balle allait franchir la ligne de but, plein centre, il allongea la foulée, plongea, que dis-je, plana, sur 5 mètres et effleura la balle! Il avait marqué!
1-1 au final et une belle prestation de l’ensemble de l’équipe qui s’est appliquée à faire vivre la balle.
Au rang des satisfactions, notons les efforts, la présence et la polyvalence montrées par Charlène et Bérengère, pour leur premier match à nos côtés! Bienvenue à elles!